Le Voleur devenu Esclave

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il y a 4 ans

Sortant un petit papier de sa poche, il examina les fils de l'alarme. Si ce code n'était pas le bon il devrait sûrement essayer de couper un des fils. Ah ce Van Gogh ! Il avait eu beaucoup de mal à retrouver son propriétaire. Il ne manquait que cette toile pour parfaire sa collection personnelle, aussi quand ce gros idiot avait refusé son offre pourtant bigrement alléchante, il s'était résolu à l'obtenir coûte que coûte. Il le placerait entre le Monet et le Cézanne. Tout çà lui avait pris du temps, Marc se remémora ces derniers mois ou il lui avait fallu déployer tous ses talents de jeune businessman auprès de cet abruti pour enfin se retrouver chez lui et s'immiscer dans son cercle d'amis et il lui faudrait rester des mois encore avant de retourner à d'autres proies...

Marc entra le code et valida, la petite lumière rouge clignota, et il eut un frisson en pensant qu'il avait peut être déclenché le système d'alerte mais heureusement le témoin vert remplaça le rouge.

Il décrocha alors le célèbre tableau de son support. Ca y est il le tenait. Il ne pouvait pas se permettre de l'admirer, même si de source sûre, il savait que son propriétaire et sa femme étaient partis en week-end, le matin même. Il commençait à être tard et le gardien de la maison allait arriver dans une bonne heure...

Il pris sa lampe torche et fit rapidement un tour dans la maison vide. Des photos sur la cheminée de marbre attirèrent son attention. Le couple avait une fille et elle était photographiée sous tous les angles, l'air triste. Ca ne devait pas être franchement génial de vivre avec ces tocards vu cet air. Il se demanda l'âge qu'elle pouvait avoir maintenant car les clichés ne dataient pas d'hier, le vieux avait encore ses cheveux, gras, mais des cheveux quand même. Il regarda sa montre puis se dirigeâ vers l'entrée. En tournant la poignée il senti une résistance et soudain la porte s'ouvrit sur lui. Abasourdi il vit un objet surgir et s'abattre et ce fut le noir total.

Un parfum sucré lui chatouilla les narines, le sortant de son sommeil imposé. Il ouvrit les yeux sur une poitrine logée presque sur son visage dans un décolleté si profond qu'il s'y perdit.

  • Je suis m o r t et c'est le paradis, songeât il en respirant à plein poumons l'odeur de cette peau de femme...

  • Enfin on se réveille... entendit il susurrer à son oreille une voix chaude doucement moqueuse mais ferme. Vous allez pouvoir me dire qui vous êtes et ce que vous faites ici ?

La voyant se relever et faire quelques pas en arrière, il pu enfin détailler cette mystérieuse inconnue qui l'avait mis au plancher. La surprise fut de taille, la jeune fille des photos s'était transformé en une plantureuse jeune femme diablement sexy.

Elle était habillée d'une courte robe moulant ses formes à la perfection. La masse bouclée de ses cheveux avait été relevée en chignon révélant un port de tête altier et sa nuque.

Ses yeux noirs, bordés d'une rangée de cils interminables, étaient brillants et le fixait avec intensité. Il n'avait jamais été vraiment troublé par une femme auparavant mais elle, avec ce corps magnifique et cet air d'amazone... Il avait eut une érection d'enfer juste à sentir les effluves de son eau de toilette et cela devenait douloureux. Soudain, il s'aperçut du reste : allongé sur un tapis en peau de chèvre, il était attaché aux tuyau du radiateur par les poignets et avait les chevilles liées avec un foulard. Et il reprit ses esprits se souvenant de la scène. La regardant de nouveau, il vit un sourire moqueur sur ses lèvres charnues.

  • Vous n'avez pas répondu à ma question, dit elle, alors ... Vous êtes ?

  • Je suis le gardien pardi ! improvisa t'il

  • Le gardien je l'ai congédié pour le week-end car je viens passer le week-end ici... Je suis la fille du propriétaire de cette maison. De plus notre gardien n'est pas intéressé par les tableaux de Van Gogh...

A ces mots, elle fixa la bosse qui se formait sous sa ceinture tendant le jean de façon provocante.

  • Je vois qu'il n'y a pas que la toile qui vous donne envie... souffla t'elle, aguichant tous ses sens. Je n'aime pas trop la police, voyez-vous, je crois que je vais devoir vous punir moi même...

Elle s'avance et s'agenouilla près de lui ne quittant pas des yeux la toile de jean déformée par la taille croissante de son sexe. Puis elle se pencha vers lui, et plongea son regard dans le sien et il retint sa respiration déjà haletante. Son air de bourgeoise laissa place à un style beaucoup plus libéré...

Entrouvrant ses lèvres rouges et appétissantes, elle y passa lentement le bout de sa langue captant toute l'attention de sa proie... puis se mouvant plus près de lui pour qu'il ne perde pas une miette de ses moindre mouvements, elle se caressa la gorge de ses doigts fins et délicats et descendit vers la naissance de sa poitrine pleine. Ses seins étaient à peine contenus dans cette robe serrée et ce soutien gorge de dentelle noire dépassant de son décolleté généreux. A travers le tissu fin, il en vit les pointes s'ériger peu à peu. Elle renversa sa tête en arrière puis dirigea une de ses mains vers la douloureuse preuve de sa virilité et le libéra de sa prison bouton par bouton.

  • Soulève tes hanches, cher Arsène Lupin... lui intima t'elle

Il lui obéit, bien que sa position ne soit pas très confortable cela l'excitait énormément.

  • Je veux connaître ton nom... lui demanda t'il d'une voix rauque de désir

  • Pourquoi faire ? çà n'est pas important mais bon... Je suis juste Natacha pour toi, lui répondit elle dans un sourire éblouissant.

Elle lui tira son pantalon et sa queue rougie sursauta comme un diable de sa boite. La belle Natacha, poussa un " hum... " de satisfaction. Ses yeux détaillaient son membre avec envie et ce dernier tressaillit une nouvelle fois, se tendant de plus belle.

  • Moi, c'est Marc...

  • Tu as de l'audace Marc... et un énorme... humm... Voyons çà...

Elle l'empoigna d'un coup en le pressant doucement puis approcha sa bouche du gland rouge, mais en experte elle lécha d'abord la peau fine da la base en remontant doucement, goûtant chaque parcelle de ce pénis prêt à expulser son jus. Marc se contenait à grand peine, elle du s'en apercevoir et pressa d'un doigt la base de son vit, l'empêchant d'éjaculer trop tôt, puis continua son activité buccale en prenant ses couilles dans sa bouche et en jouant de sa langue sur ses bourses pleine puis les relâcha pour aspirer goulûment la totalité du sexe de Marc gémissant sous l'exquise supplice. Massant, pressant, caressant de ses lèvres gonflées et douces, sa virilité. Elle suçait avidement sa queue qui ne pouvait relâcher son précieux liquide, et titillait avec le bout de sa langue l'orifice de son sexe. C'était merveilleusement insupportable. Il gémissait le prénom de son inquisiteur et la priait de le laisser jouir entre deux râles.

  • Pas question ! Tu oublies que tu n'es pas en position de demander quoi que ce soit, Marc chéri...

Puis de sa main libre, l'autre retenant son sperme à sa source, elle ôta l'élastique qui retenait sa superbe chevelure et il put admirer la cascade de ses boucles retomber sur les épaules de sa belle t o r t i o n n a i r e . Elle enserra alors son pénis de cette attache libérant sa main pour continuer la séance et contenir son éjaculation. Elle ne pu retenir pourtant un petit jet de semence qui vint atterrir sur sa poitrine.

En riant, elle plongea dans son décolleté pour libérer ses mamelons comprimés qui jaillirent de son soutien gorge. Le liquide coula entre ses énormes seins aux pointes durcies, et le rattrapant avec ses doigts libérés, elle se l'étalât en se caressant... Elle le regardait droit dans les yeux avec un demi-sourire charmeur. Cette salope savait mettre chacun de ses geste en valeur et le faire bander comme jamais.

Soudain il sentit les liens de ses poignets se desserrer et tomber, mais pour ne pas alerter la belle amazone, il ne fit aucun geste qui aurait pu le trahir et la laissa continuer son superbe show. Tout en continuant à se caresser contre lui elle fit glisser sa robe et se retrouva en dessous de dentelle noire.

Elle se releva, et détachant ses bas de son porte-jarretelles, elle les fit rouler l'un après l'autre sous le regard fou de désir de Marc puis elle décrocha son soutien-gorge le laissant tomber à ses pieds nus et s'installa en écartant les jambe sur le ventre musclé de Marc où elle se masturba lascivement puis de plus en plus vite jusqu'à l'orgasme.

Lui, Regardait ce con si proche et si parfumé, s'interdisant de la goûter pour garder son effet de surprise. Secouée de spasmes et gémissant elle s'abattit sur lui puis se mit à califourchon sur ses jambes. Sa bite se retrouva dans le chaud sillon de cette superbe poitrine et Natacha le branla entre ses seins avec sensualité, les yeux toujours rivés aux siens, puis reprit ce sexe tremblant dans la cavité chaude de sa bouche accueillante et continua sa fellation abandonnée auparavant.

Le pompant, le lapant avec ardeur pendant de longues minutes, elle massait et pesait de ses paumes, ses couilles remontées puis avec ses lèvres, elle ôta l'élastique en un seul geste et cette queue gicla ce sperme sur le visage radieux de Natacha qui le récupérant de nouveau avec ses mains s'en enduisit le corps. Marc criait son plaisir puis se jeta sur elle la plaquant au sol...

L'heure de la vengeance avait sonné au même moment que le carillon de minuit. La nuit allait être longue.

Le souffle coupé par ce revirement de situation, Natacha ouvrit la bouche cherchant de l'air. Une langue s'y introduisit avec puissance et chercha la sienne. Son corps nu était de nouveau en flamme. Elle essaya de se débattre de l'emprise cet homme qui voulait sa revanche. Elle n'aurait jamais cru qu'il se libérerait de ses liens elle n'avait pas du faire des nœuds assez serrés. Maintenant il lui était impossible de se dégager de lui. En avait elle envie ? Elle gémit quand une main vint s'aventurer sur sa toison, encore trempée de mouille. Un doigt vint se fourrer en elle, puis un second dans un va et vient insolent. De son autre main, Marc s'était libéré les chevilles profitant de l'effet de surprise, et à présent il retenait les poignets de la belle Natacha, tendus au dessus de sa tête l'empêchant de le frapper. Il avait réussit à lui écarter les jambes et lui arracher le bout de dentelle faisant office de slip.

Elle allait comprendre qu'on ne pouvait commencer ce jeu sans le finir. Cette femme était belle à se damner et il n'aurait pas été un homme s'il n'avait pas voulu lui donner cette leçon à son tour...

Elle gémit de plus belle mais ses yeux étincelaient de rage, il allait très vite la convaincre, il abandonna à regret la moiteur de son nid d'amour pour l'attacher à son tour au radiateur, bien qu'elle essaya de se débattre. Puis lui plia les jambes et les écarta avec ses bras, elle gémissait à cet acte trahissant son désir. Marc lui enfonça la langue dans son orifice béant et lubrifié et l'agita avec gourmandise en l'explorant, il s'arrêta pour retirer le reste de ses vêtements, nu enfin il se remit entre ses cuisses restées ouvertes et se réintroduisit en elle, léchant pleinement son clitoris, aspirant et suçotant sa mouille et enfonçant ses doigts dans ce doux et accueillant fourreau de chair. La jouissance de Natacha était proche, elle sentait ce familier picotement monter dans sa chair et ses reins s'enflammer. Elle sentait sa moule suinter et son bassin se soulever à chaque coup de langue.

Soudain la poussée fut intenable et elle parcourut tout son corps comme une brûlure la faisant crier et la secouant de spasme intense. Marc lui laissa à peine le temps de récupérer son souffle lui-même à court et la prit d'un impérieux coup de rein il lui ôta les liens de ses poignets craignant de la blesser et commença alors un furieux va et vient en elle, enfonçant pleinement son membre tendu et la faisant crier à chacun de ses mouvements.

  • Je vais te faire jouir Natacha, Je vais te faire jouir jusqu'à que tu n'en puisse plus, Jusqu'à t'entendre me supplier d'arrêter. Tu es ma plus belle salope. Oui... une salope... et tu vas adorer je te le promets

  • Je ne suis pas... une salope... je... Humm... mmmm... Marc... Oui...

  • Alors prouves le moi Natacha, et viens à moi, dit-il en se renversant en arrière et en l'entraînant sur lui.

Elle mit ses mains sur son torse musclé et s'empala sur lui puis relava ses fesses et recommença plusieurs fois cherchant à comprimer son sexe pour intensifier le contact, intensifier le plaisir de son partenaire qui prenait possession de ses seins lourds en les malaxant. Il se redressa pour lécher les pointes tendues vers lui, titiller ces petits bourgeons durcis par le désir puis elle se pencha en arrière sans s'arrêter de monter et descendre sur lui. Elle voulait sentir encore plus cette bite et trouva son point G, en quelque frottements un orgasme encore plus puissant que le premier la secoua et elle s'abattit sur son amant qui reprit les choses en main.

Il la roula avec lui sur le coté, la retourna et lui ordonna de se mettre à genoux les fesses tendues vers lui. Il la prit dans cette position, enfonçant son pieu en elle, il sentait la chaleur de sa chatte, le frottement entre leur peaux lubrifiées qui glissaient, son vagin se compressant sur sa queue, elle gémissait, jouissait et le suppliait comme il l'avait prédit, alors il explosa en elle dans un cri, se vida de toute sa semence et ils tombèrent ensemble sur le sol.

Après quelques instant, elle releva la tête vers lui, encore haletante et lui sourit auquel il répondit par un baiser d'abord timide puis profond. Cette femme lui avait volé son âme et son corps. Il se releva et l'aida à faire de même puis elle fit mine de l'entraîner vers la chambre. Il l'arrêta et attrapa son sac, prit le Van Gogh et le raccrocha sous les yeux brillants de Natacha puis il revient vers elle. Sans un mot, il la souleva et l'emmena dans sa chambre.

Ce fut une nuit très, très, très longue...

diablesse-de-charme

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